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podcast enfanter librement

Aujourd’hui, Clélie nous raconte la naissance de son deuxième bébé qui a eu lieu il y a seulement quelques jours.

Son partage est vraiment riche, entre autres parce qu’elle a vécu des expériences complètement différentes pour ces deux accouchements.

Son premier bébé est né en France sous péridurale et son deuxième au Québec de façon cent pour cent physiologique.

Dans les prochaines minutes, il sera question d’ouverture, d’amour, d’impuissancement et d’outils qui font une énorme différence dans la préparation à l’accouchement.

Les astuces que Clélie voulait te partager:

  • Ostéopathie
  • Programme OPALEO prénatal Annie Bhérer
  • Sandra Ambos (visualisations, méditations, phrases d’affirmation)
  • Exercices en hypnonaissance
  • Plateforme mouvement montagne de Stéphanie Benoit (méditations, yoga et training muscu et endurance)
  • Vision board (empuissancement)
  • Position 4 pattes
  • Bains chauds
  • Les sons 
  • La respiration

LES ASTUCES QUE CLÉLIE A UTILISÉES POUR JONGLER AVEC LA DOULEUR

  • Bain
  • Ballon peanut
  • Création de l’ambiance dans la chambre
  • Danse
  • Écouter des Podcast sur la naissance
  • Formation OPALEO
  • Lumières tamisées
  • Massages +++
  • Sons
  • Tableau de visualisation (vision bord)
  • Teintures mères

CONTACTER ANNIE

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Sujets abordés dans cet épisode

  • Accouchement en milieu hospitalier (hôpital)
  • Accouchement en maison de naissance
  • Accouchement avec des sages-femmes
  • Bulle hormonale (endorphines)
  • Délivrance, naissance du placenta
  • Gestion de la douleur
  • Endorphines
  • Haptonomie
  • Importance de la préparation pour l’accouchement
  • Importance du soutien du.de la partenaire
  • Importance de suivre notre intuition
  • Instinct
  • Maison des naissances
  • Naissance physiologique
  • Périnée
  • Position du bébé
  • Préparation Affective à la Naissance (haptonomie)
  • Méthode OPALEO
  • Phase de désespérance
  • Position non traditionnelle pour la naissance
    Rôle du/de la partenaire
  • Rupture spontanée des membranes
  • Sages-femmes
  • Tableau de visualisation “Vision bord”

Interventions dont il est question dans cet épisode

  • 100% Physiologique
Transcription de l'épisode

Annie, ta Doula Ostéo
Aujourd’hui, Clélie nous raconte la naissance de son deuxième bébé qui a eu lieu il y a seulement quelques jours. Son partage est vraiment riche, entre autres parce qu’elle a vécu des expériences complètement différentes pour ces deux accouchements. Son premier bébé est né en France sous péridurale et son deuxième au Québec de façon cent pour cent physiologique. Dans les prochaines minutes, il sera question d’ouverture, d’amour, d’impuissancement et d’outils qui font une énorme différence dans la préparation à l’accouchement.

Jean
Bienvenue dans le podcast de Annie Berrer. Passionnée de grossesse et d’accouchement, Annie est accompagnante à la naissance depuis plusieurs décennies. Elle est également ostéopathe spécialisée en périnatalité et formatrice à l’international. À ce jour, elle a aidé des milliers de femmes, de couples et de familles à se préparer pour vivre une expérience de naissance la plus alignée possible à leurs désirs. Voici Tadula Ostéo Annie Berer.

Annie, ta Doula Ostéo
Coucou Clélie, je te reçois dans le podcast enfanter librement sans se faire accoucher avec beaucoup de plaisir parce que je trouve que tu incarne ce podcast-là présentement dans ta vie.

Clélie
Ça me touche beaucoup que tu dises ça.

Annie, ta Doula Ostéo
Tu as deux magnifiques enfants dont une toute petite qui est née très très récemment. Tu as vécu donc deux expériences d’enfantement très différentes. Une première expérience en France avec une péridurale, une deuxième expérience toute récente dans ton pouvoir dans un accouchement complètement physiologique.

Clélie
Mais c’est avec plaisir que je viens de partager mes expériences, mon histoire, ma dernière histoire surtout d’accouchement. Donc j’ai vécu un premier accouchement en France, j’ai commencé un suivi de grossesse au Canada à Montréal parce qu’on était déjà installé là mais on était sous un permis qui ne pouvait pas me permettre de finalement que ça se passe ici, tout l’accouchement et caetera. Donc on a dû rentrer en France à sept mois et demi de grossesse, mais j’avais quand même préparé pas mal de choses ici, j’avais contacté une maison de naissance à la base, il n’y avait pas de place parce qu’il faut s’y prendre assez rapidement. J’avais fait un suivi en milieu hospitalier et en rentrant en France, j’ai réussi à obtenir un suivi dans une maternité qui était plutôt dans le pro allaitement, avait une salle nature pour un accouchement naturel pour certaines femmes si elles le souhaitaient et bien sûr c’était médicalisé donc il y avait ce qu’il fallait pour une péridurale si nécessaire ou au besoin et donc j’ai voulu essayer cette expérience d’accouchement naturel donc je m’étais plus ou moins préparée mais mon mindset était quand même assez différent parce que je savais pas du tout à quoi m’attendre.
Ce qui s’est passé, c’est que dans ce premier accouchement, moi j’ai perdu les eaux dans un premier temps, puis ensuite j’ai eu les contractions, c’était long, c’était douloureux pour moi donc j’ai finalement demandé la péridurale, j’étais vraiment dans une lutte de la douleur au lieu de pouvoir m’ouvrir à elle, l’accueillir comme ce dont j’ai travaillé pour le deuxième accouchement. Et donc c’était vraiment intense, je n’arrivais pas du tout à pouvoir me laisser aller et puis comme tu le dis si bien dans la préparation Annie, entrait dans mon cerveau mammifère.
J’étais quand même bien accompagnée, mais les sages femmes étaient très peu présentes, il y avait beaucoup d’accouchement ce soir-là. J’ai fini par prendre la péridurale et l’accouchement a pu quand même bien se passer parce que Victor est né en bonne santé puis en plus j’ai pu accoucher quand même dans une position que je souhaitais, c’est-à-dire à quatre pattes sur un lit de péridurale à la base, donc j’avais la péridurale avec la pompe pour doser justement et pas trop doser quand justement je voulais la pousser, l’expulsion, et caetera.

Clélie
La deuxième grossesse, c’était quatre ans plus tard déjà, donc j’étais dans une maturité différente et une envie différente vraiment de ma préparation et de mon accouchement au Canada puisque là pour cette fois-ci j’ai pu vraiment faire tout le suivi et l’accouchement ici et donc je souhaitais le faire du coup en maison de naissance, entouré des sages-femmes en sachant aussi ce que j’allais vivre parce que j’étais passée par là, donc c’était aussi un challenge pour moi, un sacré défi de repasser par cette intensité-là, ces vagues-là puissantes, mais avec une confiance vraiment forte en moi, j’allais y arriver de toute façon. Avec tout ce que j’allais mettre en place de toute façon toutes les femmes peuvent le faire donc je vois pas pourquoi je pourrais pas pu le faire.
Ça avait beaucoup de sens pour moi cet et chaque fois que j’avais des peurs, chaque fois que je doutais régulièrement et je me suis sentie vraiment en sécurité avec elle, en confiance et chaque fois que j’avais des peurs, chaque fois que je doutais, j’avais l’impression d’être entourée de trois mamans en fait.
C’était ce dont j’avais besoin vraiment donc ça a été très important pour moi déjà toute cette préparation avec elle et en parallèle je me suis aussi préparée plus personnellement individuellement je me suis inscrite sur le programme de toi Annie, OPALEO, ce qui m’a beaucoup aidé pour à la fois les rencontres directes et puis aussi les vidéos. J’ai essayé un peu avec mon conjoint de l’emmener dans cette préparation-là. Louis était plus en confiance donc il avait moins ce besoin d’être présent, de regarder beaucoup les vidéos enfin toute la préparation, mais on avait sélectionné ensemble certaines vidéos qui pouvaient avoir du sens pour lui.
On a fait aussi de la préparation en haptonomie avec Annie et ça c’était quelque chose que je voulais aussi renouveler, que j’avais expérimenté pour la première préparation et j’avais vraiment beaucoup aimé et j’ai trouvé ça chouette que Louis soit présent à chaque fois parce que pour lui aussi c’était particulier de faire ça et il l’a fait vraiment avec amour on va dire. Pareil ça avait beaucoup de sens pour moi, je me suis aussi préparée en faisant de la visualisation, beaucoup de méditations, pratiquement tout le soir je me prenais un bain, je me faisais une petite méditation, une visualisation.

Clélie
J’ai pris beaucoup de temps pour moi alors on a un enfant qui a bientôt cinq ans maintenant, donc il était là, il y avait la routine, mais elle me permettait vraiment de prendre ces temps, ces espaces-temps pour moi et puis c’était tout à fait ok avec Louis, avec mon conjoint. Donc j’ai vraiment vécu une magnifique grossesse.
Moi j’adore en plus être enceinte, donc je trouve que c’est c’est quelque chose d’incroyable de construire un petit être à l’intérieur de tout ce qui se passe, ça me dépasse quoi, je trouve ça vraiment magique. Je trouve qu’on est chanceuse nous les femmes de pouvoir vivre ça. Donc j’en ai beaucoup profité. J’ai aussi fait beaucoup de yoga, je n’ai pas arrêté de faire du sport en fait jusqu’au, je crois, à la quarante-et-unième semaine, j’ai continué le yoga, bon, c’était beaucoup plus doux et je marchais beaucoup.
Je faisais beaucoup d’exercice, à travailler mon périnée. Tout ça, c’était des choses qui ont eu du sens pour moi dans ma préparation et qui m’ont vraiment permis d’envisager l’accouchement très différemment. J’ai vite compris que ce qui avait été compliqué pour moi, c’était que je luttais vraiment contre l’intensité des contractions. En fait, j’étais dans le refus de sentir ça puis l’avoir expérimenté m’a permis aussi du coup de savoir à quoi m’attendre mais de pouvoir l’envisager différemment, l’appréhender différemment.

Comment accueillir cette douleur, ces vagues avec tous ces accompagnements-là. J’ai aussi fait un peu d’ostéo avec toi pendant ma grossesse parce que je me suis rendu compte aussi grâce à toi qu’au niveau du sacrum, il y avait des enjeux au niveau des ligaments, parce que j’avais beaucoup de douleurs en bas du dos et que à ma première grossesse et mon premier accouchement ça avait été je pense un gros enjeu dans le travail de quand bébé est né par rapport à la posture aussi du bébé dans le ventre la tête tu m’avais bien tout expliqué donc Annie m’avait donné pas mal de petits exercices à faire que j’ai vraiment fait tous les jours et donc j’étais vraiment en sécurité, voilà en confiance de tout ce qui allait se passer. Je me suis fait mon vision board avec plein de belles images qui m’en m’ont honoré pendant ma grossesse, qui ont été vachement présentes pour moi tout du long, ma maman aussi, ma soeur, ma famille, ils ont ils étaient très soutenant à distance puisqu’ils sont en France donc tout ça m’a permis de vivre un accouchement magnifique franchement je pensais pas dire un accouchement de rêve mais c’est vraiment un accouchement de rêve que j’ai vécu même si ça a été quand même très intense.

Clélie
C’est un deuxième accouchement, donc c’est aller aussi plus rapidement. J’ai commencé à avoir des contractions quarante-et-une semaines et trois jours. Donc là on commençait à me dire que ce serait bien de stimuler, donc on proposait de décoller les membranes, j’ai fait un peu de stimulation avec les teintures mères parce que en maison de naissance c’est ce qu’ils proposent le tire-lait et caetera.
Donc moi je voulais vraiment faire le plus naturel possible.
Donc j’ai commencé par ça, le décollement des membranes, j’ai vraiment attendu je ne voulais pas. Puis quand j’ai été à l’hôpital parce qu’ils voulaient vérifier au niveau du liquide amniotique, c’est quelque chose qui se fait à quarante-et-une semaines et plus. Tous les deux jours par précaution, on va à l’hôpital pour voir un petit peu s’il y a suffisamment de liquide amniotique, si bébé va bien, placenta, et caetera. Donc moi, on m’avait dit qu’il n’y avait plus beaucoup de liquide, mais bébé bougeait bien, son cœur était super, mais par contre à l’hôpital, il me conseillait fortement le décollement des membranes.
Je me dis bon le lendemain ok on prévoit ça avec ma sage-femme et en fait dans la nuit du trois février du deux au trois février à trois heures du matin je ressens des contractions qui sont tout à fait supportable très irrégulières puis je me dis bon ça va passer parce que c’est quelque chose que j’avais déjà pu ressentir. Quatre heures toujours là, cinq heures encore, donc là, cinq heures du matin, j’envoie un message à ma sage-femme en lui expliquant elle me dit prends un bain chaud voici ça s’apaise ou pas les contractions donc c’est ce que je fais elles sont pas régulières mais elles sont quand même présentes peut-être un petit peu plus douloureuses plus sensibles quand même mais tout à fait vraiment gérable quoi avec tout ce que j’avais préparé pense que c’était bon et donc vers 6 sept heures du matin, je je lui dis est-ce que je réveille conjoint, est-ce que je réveille Louis pour amener Victor chez nos amis parce qu’on avait prévu tout ça et elle me dit oui je te conseille de le faire maintenant et puis on nous donne rendez-vous à la maison de naissance donc je réveille mon conjoint qui est très excité et qui emmène Victor chez nos amis, il revient il est huit heures et là elle nous dit rendez-vous à neuf heures à la maison de naissance.

Clélie
Les contractions s’intensifient un peu toujours irrégulières, on essaie de voir un peu avec Louis puis voilà bon on dit de toute façon je pense que c’est bon c’est parti quoi. Il me fait un super petit déjeuner, il s’occupe de moi et il faut savoir que Louis c’est quelqu’un qui est pas trop à l’aise l’intime, l’intimité donc les câlins, les bisous c’est pas trop son truc de base, mais c’est quelque chose que j’avais vraiment exprimé, manifesté que c’était important pour moi qu’il puisse prendre soin, de me faire des câlins, de me faire des bisous, d’être tendre et puis aussi les massages et puis les points qu’on avait aussi expérimentés, voir ce qui me faisait du bien.
Il me disait oui oui oui, mais moi je ne voyais pas, donc je toujours un peu sceptique et en fait il a été mais incroyable durant cette heure-là à deux et puis après mais durant cette heure-là il a été vraiment il se mettait dans des positions confortables aussi pour pouvoir vraiment tenir quand j’en avais besoin. Il m’a fait danser aussi j’ai trouvé ça super c’était vraiment important pour moi il m’a fait plein de bisous me donnait beaucoup de force, ça ça m’avait vraiment aussi beaucoup donné de courage parce que j’étais surprise en fait.

Annie, ta Doula Ostéo
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Clélie
Même s’il avait été beaucoup présent aussi au premier accouchement en fait ce n’était pas du tout la même chose quoi on était moi je n’étais pas dans le même mindset lui non plus on était aussi dans un contexte tout à fait différent et lui avait beaucoup peur c’était un premier enfant on savait vraiment pas à quoi s’attendre et là en fait il fallait vraiment que je lui fasse confiance et donc je me suis beaucoup angoissée par rapport à l’accompagnement que je pouvais avoir de lui et en fait non il fallait vraiment que je lui fasse confiance, c’était super.
À neuf heures moins le quart on s’en va, il passe quand même me chercher un jus d’orange pressé, des viennoiseries, on arrive à la maison de naissance puis personne c’est un samedi matin donc les quatre chambres sont libres il n’y a pas d’autres accouchements ma sage-femme nous ouvre j’ai l’impression de rentrer à la maison, la maison de maman quoi et puis elle m’a coulé un bain chaud elle me donne la chambre qui nous intéresse et puis elle m’a vraiment installée dans ma chambre c’était vraiment trop mignon. Elle m’apporte l’écharpe, le ballon c’était vraiment un beau parce qu’elle laissait Louis prendre sa place tout en proposant si j’avais besoin de quelque chose, mais il y avait beaucoup de respect en fait, puis elle était toute seule alors elle s’activait parce qu’elle a plein de choses à faire. Donc moi elle m’a proposé si je souhaitais de vérifier le col, moi je savais que ça allait pouvoir m’encourager de toute façon. Je suis arrivée à la maison de naissance, j’étais à peu près à cinq de dilatation avec un col presque effacé donc presque à cent pour cent. Il est neuf heures vingt avec Louis, donc moi je suis à quatre pattes sur le lit, elle m’apporte le ballon cacahuète, il me fait deux trois blagues avec ce ballon, c’est très drôle, j’arrive à rire alors que je me souviens qu’en première accouchement, je ne riais pas du tout, j’avais juste envie de lui foutre des claques, clairement. Donc là, c’était vraiment très différent, il y avait quelque chose de très complice entre nous et puis de très ouvert en fait par rapport à tous les deux. Ensuite tout s’accélère en fait, l’intensité des contractions, moi je sais plus trop comment me mettre et puis en fait c’est là où elle me dit, Clélie, tu peux aller dans le bain si tu veux, je pense qu’elle entend que mes sons sont de plus en plus forts.
Lors de ma préparation j’avais évoqué le fait que ce serait quelque chose que je désire de voir accoucher dans l’eau si c’est une possibilité et si je le sens dans le moment où j’avais évoqué ça, elle l’a bien retenu parce qu’elle m’a dit d’aller dans l’eau au bon moment.

Clélie
Donc je suis arrivée dans l’eau, elle m’a coulé, c’est des grandes baignoires donc elle continue à faire couler de l’eau. Je trouve vraiment suffisamment chaude pour que je me détende encore plus pour que ça s’accélère encore plus et ça s’accentue encore plus. Je crois que je suis rentrée dans le bain et devait être à peu près dix heures et quelques et encore une fois s’accélère. Là il y a la sage-femme de garde qui arrive, l’assistante natale, donc elles sont trois. Louis demande de prendre deux, trois photos lorsque le bébé né parce que c’était moi qui avais demandé quand mon bébé serait sur moi. Donc elle, elle se met dans ce contexte-là en fait l’assistante natale. Je vois que vraiment tout le monde est là pour nous. Ma sage-femme, Alice prépare des choses derrière moi.

Clélie
Je suis à quatre pattes dans la baignoire en fait avec mon bras qui tient sur le bord de la baignoire, ma tête qui est du coup est retenue par mon bras, Louis qui est pas du tout dans la baignoire lui à l’extérieur mais il me fait des massages il me fait des caresses sur le dos il a sa tête près de ma tête on se regarde et en fait là je commence à pleurer très très fort en me disant que je vais pas y arriver, donc je suis clairement à la fin puisque dans ma préparation j’avais bien compris que quand on était dans cette phase-là, les hormones là sont vraiment en train de se manifester puissamment.
Donc là je suis extrêmement par Alice et Louis. Alice qui me dit, continue à respirer Kelly, Louis qui est vraiment présent et qui me dit bien sûr que tu vas y arriver bien sûr. C’était vraiment fort c’était vraiment fort et il y avait beaucoup de pénombre parce que j’avais demandé vraiment à fermer les rideaux j’avais mis des petites bougies aussi et donc Alice se prépare des choses derrière moi, il y a une lampe de poche et en fait il y a aussi un petit miroir qu’elle pose au fond de la baignoire. Elles ne me disent pas quoi faire en fait, elles me suivent vraiment dans tout ce qui est en train de se passer dans comment je me positionne, elles s’adaptent totalement et à un moment donné Alice me dit, Clélie dis-moi quand tu sens que ça pousse en fait, moi je lui dis ça pousse de toute façon depuis le début et je crois quelques minutes après je lui dis mais là en fait ça pousse vraiment et je comprends pourquoi elle me dit ça. Donc là je sens que je pars vraiment dans un autre univers sous les hormones et je me laisse complètement aller. C’est vraiment intense à ce moment-là pour moi. Je pense pour tout le monde parce que Louis me dit qu’il en a eu les larmes aux yeux de c’est le moment de la poussée de l’expulsion ça a été ce qu’il y a de plus intense pour moi et Louis on en a beaucoup parlé après je ne peux pas m’empêcher de pousser en fait c’est vraiment comme j’ai pu l’entendre à plusieurs reprises, pas du tout la même chose que sous péridurale pour le coup.

Clélie
Tout est physiologique quoi, tout se fait naturellement, le corps s’est tellement bien accouché c’est incroyable quoi je suis encore surprise de tout ce que j’ai pu vivre quoi l’admiration de nos corps de femmes quoi c’est incroyable.
Ça pousse, ça pousse, je je laisse vraiment faire mon corps et Alice me dit, pousse pas trop fort parce qu’il y a il y a mon périnée aussi qu’il faut protéger et et en fait je poussais vraiment fort donc elle me dit super super, essaie de pousser un peu moins fort puis aussi de baisser mes fesses dans l’eau parce qu’en fait j’avais tendance à lever les fesses hors de l’eau et que l’accouchement dans l’eau ça se fait totalement dans l’eau.
Je sors mon bébé passer et on le donne à travers mes jambes donc là j’attrape mon bébé je le mets sur ma poitrine encore une fois je suis dans un autre univers et je vois ces trois femmes autour de moi avec mon conjoint. Ils sont tous là autour de la baignoire à nous regarder toutes les deux, c’était juste encore une fois incroyable et tellement intense. J’avais vraiment les larmes aux yeux et là mon conjoint on se regarde et c’est puissant aussi et il me dit, est ce que tu es heureuse que ce soit une petite fille ou je sais plus. En fait mon conjoint savait que c’était une petite fille parce qu’il voulait le savoir et moi je ne le savais pas parce que je ne voulais pas le savoir, il avait vraiment tout à fait respecté ça, quand il a dit ça c’était super intense parce que personne ne savait en fait, personne n’avait vu, c’était un fort moment aussi et je pense qu’il était content de pouvoir le dire et donc on a une belle photo justement de ce moment.
Pour la délivrance donc en fait on m’a sorti du bain, j’avais toujours mon bébé dans les bras, on m’a sorti du bain, on m’a amené sur le lit, sur le dos puis c’était vraiment tout doux, c’était tellement fluide ce qui s’est passé après et mon bébé qui a tout doucement commencé à grimper, qui a pris le temps de venir apprivoiser mon sein et moi aussi pour que la tétée se mette en route. Et voilà.
Ça brûlait comme même donc elle m’a donné une poche de glace et puis à un moment donné elle vient elle me dit je vais vérifier ton périnée puis elle regarde et elle fait périnée intacte. Oui magnifique c’est bon j’ai juste l’impression que mon corps s’est ouvert et s’est refermé quoi en fait c’était ouais voilà.

Annie, ta Doula Ostéo
Et là maintenant tu as vécu des contractions dans lesquelles tu te refermes pour lesquelles tu combats finalement et d’autres contractions encore plus puissantes parce qu’on s’entend t’étais zéro soulagé par la péridurale ou tu es vraiment dans une posture complètement différente qu’est-ce que tu nous raconterais de ton ressenti en lien avec ces deux postures-là différentes.

Clélie
Dans le deuxième accouchement, j’ai eu vraiment le sentiment de laisser mon corps faire, d’avoir confiance en mon corps et d’être vraiment souveraine. Quoi. Je me sentais incroyablement forte et capable de tout. J’étais sûre à part ce petit moment à la fin où je n’étais plus du tout sûre, mais sinon tout du long ça a été vraiment, je sentais que mon corps était tout à fait capable de pouvoir enfanter. C’était très différent de la première fois parce que la première fois j’avais l’impression d’être dépossédée pas forcément par les professionnels de la santé mais juste parce que je savais pas quoi faire je me sentais inconfortable dans tout j’avais l’impression de ne pas pouvoir y arriver de toute façon, je n’étais pas du tout dans cette puissance-là, dans cette souveraineté-là, j’étais vraiment dans l’attente plus on pourrait dire dans le fait de subir mais j’ai envie de dire que ma première expérience m’a permis aussi cette deuxième expérience. Donc je regrette absolument pas tout ce que j’ai vécu dans les deux expériences ça a été tout le chemin qui m’a permis d’apprendre à vivre ce que j’ai pu vivre et me permettre d’avoir cet accouchement de rêve vraiment.

Annie, ta Doula Ostéo
Tu m’as partagé à quelques reprises que pour ton premier il y avait eu des moments donnés où tu t’étais sentie seule malgré le fait qu’il y avait beaucoup de gens autour de toi. Qu’est-ce que tu nous dirais par rapport à cette différence-là en lien avec ton ressenti?

Clélie
Je me suis sentie seule alors que Louis était là et présent et qu’il faisait ce qu’il pouvait. Les sages femmes, elles étaient là, mais je sentais qu’elles n’étaient pas forcément à l’aise dans mon premier accouchement. Je sentais vraiment qu’elles n’étaient pas aussi confortables et aussi elles ne s’adaptaient pas aussi au temps en fait. Donc je vivais vraiment beaucoup de solitude, j’avais l’impression d’être totalement seule dans mes douleurs là, que personne ne me comprenait même si Louis faisait beaucoup d’efforts je pense à ce moment-là alors que dans le deuxième accouchement j’avais pas besoin de dire j’ai même pas eu besoin de faire de projets de naissance de toute façon dans ce deuxième accouchement parce que tout ce que je souhaitais c’était proposé de toute façon et donc j’avais vraiment l’impression d’accoucher avec mes mamans quoi et j’ai trouvé ça aussi chouette que mon conjoint soit là tout du long bien sûr, mais c’était précieux pour moi que ces trois femmes-là soient présentes même s’il y en avait deux que je connaissais pas et en fait elles se sont mises dans la continuité du processus hyper c’était hyper naturel et du coup c’est elles qui m’ont marqué le plus et donc je me suis sentie, j’ai même pas de mots en fait c’est un peu indescriptible quand je dis que c’est des mamans j’étais en sécurité j’étais absolument pas dans la même expérience que la première parce que j’étais totalement accompagnée, soutenue, portée, enfin c’était vraiment tout ça et en même temps avec beaucoup de respect de me laisser dans mon autonomie, dans mon indépendance de tout faire.
C’est pour ça que je parle vraiment de sécurité quoi parce qu’on ne disait pas ce qu’il fallait faire, mais on me laissait faire et on était autour de moi en me comprenant, en me regardant. Enfin voilà je trouve c’est difficile à décrire tout ça.

Annie, ta Doula Ostéo
Ça a fait un tableau de vision qui est absolument formidable tu me l’a montré tantôt j’en ai même eu des frissons est-ce que tu as envie de nous partager ce processus là que tu as partagé avec ton fils d’ailleurs parce que lui aussi a fait son tableau de vision.

Clélie
Dans ce que tu proposes dans le protocole un peu de préparation que tu proposes, tu suggères de faire un vision board pour vraiment dépasser nos peurs, traverser nos peurs et puis pouvoir surtout mettre l’accent sur la puissance qu’on a en nous et puis tout ce qui peut nous aider en fait, tout ce qui peut nous soutenir dans le travail de l’accouchement. Et donc moi j’ai vraiment pris le temps de le faire, ça avait beaucoup d’importance pour moi d’avoir un visuel de tout ce que j’avais pu préparer et ce que j’allais pouvoir emporter aussi lors de mon accouchement et pendant le travail. J’ai découpé plein de petites images qui me parlaient, qui avaient du sens et je l’ai fait spontanément en feuilletant dans dans un magazine puis mon mon fils me voyait faire avec ma grande affiche que j’avais pris soin d’acheter tout ça et et il m’a demandé je veux faire comme toi je vais faire du collège donc je vais donner aussi les magazines et puis il a fait collège à côté de moi et et donc il me posait beaucoup de questions pourquoi tu choisis cette image-là et caetera.
Il y a vraiment des images, ça me représente, j’ai vraiment ça quoi et ça a été un travail important pour moi, ça m’a soutenu aussi tout du long, j’ai pu transmettre en fait par écrit, par le visuel tout ce que je vivais, tout ce que j’avais envie de vivre, tout ce que je projetais positivement, vivre même si bien sûr on ne sait pas ce qui peut arriver et j’étais tout à fait aussi ouverte à ce que mon accouchement ne se passe pas du tout comme je l’imaginais, mais de pouvoir poser ces intentions-là par image, par écrit, parce qu’il y a aussi des phrases et des mots, pour moi ça avait une puissance pour que ce soit présent et que ça puisse fonctionner donc voilà.

Annie, ta Doula Ostéo
Est-ce qu’il y a quelque chose qu’on n’a pas parlé, puis tu voudrais ajouter

Clélie
C’est vraiment important pour moi de te remercier de remercier toutes les femmes en fait qui m’ont accompagnée durant durant ma préparation et l’accouchement parce que moi encore une fois je trouve qu’il n’y a pas de mots c’est vraiment un descriptif mais être entouré de toutes ces femmes et mes amis aussi qui ont vraiment pris soin de m’honorer quand j’étais dans ma grossesse, je ne sais pas, il y a il y a quelque chose de de tellement doux, de tellement, on se comprend quoi, il y a vraiment, il y a rien à dire, juste merci, merci de d’avoir pu me faire découvrir tout ça.
C’était vraiment magique et aujourd’hui je vis quelque chose de très différent aussi dans le lien avec ma fille, c’est une petite fille aussi. Je suis beaucoup plus dans l’acceptation de me reposer, de prendre soin de moi, de prendre du temps avec ma fille, de que les tétés se passent autant de temps qu’elle a besoin que ça se passe, d’aller à son rythme et pas au mien parce que je suis frustrée de certaines choses. Je suis vraiment dans un post-partum différent aussi du premier.

Annie, ta Doula Ostéo
Et ça cette expérience-là si on pouvait l’avoir au premier et arrêter de se battre dans notre post-partum pour notre premier enfant, on économiserait pas mal de fatigue et de frustration.

Clélie
Tellement tellement quand on me dit reposez-vous les 6 semaines elles sont vraiment importantes c’est pas une recommandation à la volée, c’est vraiment quelque chose de très très important. Après chaque femme s’écoute et voilà, mais mais c’est important vraiment. Vraiment de prendre ce temps.

Annie, ta Doula Ostéo
Je te remercie énormément Clélie d’avoir pris le temps avec nous ce matin.

Clélie
C’était avec plaisir et j’ai beaucoup apprécié pouvoir partager mon expérience, mon histoire. Merci Annie.

Annie, ta Doula Ostéo
C’est vraiment une très très grande marque d’amour de pouvoir permettre à notre amoureuse de se sentir en sécurité, de se sentir aimée lorsqu’elle donne naissance en utilisant des outils, des astuces qui parfois ne sont pas nécessairement en adéquation avec mes préférences.
Et ces genres de choses dont il faut parler vraiment de façon très transparente avant l’accouchement. Parce que si je vais donner naissance, il y a une chose sur lequel on ne peut pas faire de compromis, ce sont mes besoins. Si on fait des compromis sur les besoins de la femme en travail, on risque de perturber tout le processus.
Alors maintenant la question ce n’est pas de biffer ses besoins, c’est de voir est-ce que la personne qui va l’accompagner est en mesure de répondre à ceci.
Et ici, on a un exemple d’amour extraordinaire. Et Louis a été hyper transparent par rapport à ça, c’est-à-dire qu’il était très conscient avec Leli, ils ont eu des discussions à coeur ouvert du fait que effectivement, il y avait un certain nombre de choses dont Clélie aurait besoin pendant la naissance que ce n’était pas sa tasse de thé à lui. Alors par amour, il a décidé et ça me rend émotive, il a décidé de mettre en place tout ce dont que l’on fasse des choix que l’on décide dans l’ouverture dans l’amour de faire quelque chose dont on n’a pas vraiment envie, mais on va le faire de bon coeur pour faire plaisir à la personne qu’on aime.

Annie, ta Doula Ostéo
Louis, il a pris son rôle au sérieux, il a été tu l’as entendu capable de combler les attentes physiologiques, j’insiste, de combler les attentes physiologiques j’insiste de Clélie donc quand on est en train de donner naissance, ce ne sont pas des chichis, c’est hyper important, ce sont vraiment des besoins essentiels de base qui vont impacter directement la physiologie. Donc c’est hyper primordial, il faut absolument que ça soit respecté dans tous les cas, sauf la mini mini exception où on se retrouve dans des situations vraiment urgentes.
Est-ce que c’est tout le monde qui va être capable de donner ce cadeau-là même s’il ne se sent pas à l’aise, il ou elle, bien sûr que non. Et ce n’est pas dramatique, c’est juste qu’il faut en parler à l’avance. Si comme partenaire tu ne te sens pas capable d’aller dans ces zones-là, que ce n’est pas quelque chose que tu aimes et que tu n’es pas capable pour toutes sortes de raisons d’offrir ça à ton amoureuse pendant le travail, ce n’est pas une il faut juste en parler à l’avance et déterminer qui pourrait se joindre à notre équipe de façon à ce que tous les besoins de ta blonde soient répondus.

En parlant de besoin essentiel, si tu as un bébé dans ton bedon et que tu as envie d’entendre parler des clés essentielles pour une naissance la plus facilité possible, je t’invite à t’inscrire dès maintenant à la formation gratuite les onze clés pour une naissance facilitée. Tu trouveras le lien dans la description de l’épisode et aussitôt inscrit, tu auras accès automatiquement à la formation.

On a aussi beaucoup entendu parler dans l’épisode de la différence entre l’ouverture et la fermeture face aux contractions. Oh là Oh là là, je pourrais te parler de ce sujet-là pendant des heures.

Annie, ta Doula Ostéo
C’est une clé tellement importante. C’est vrai que c’est contre intuitif. Depuis qu’on est toute petite, on a appris que la douleur dans notre vie était un signal d’alarme qui venait m’avertir qu’il y avait une problématique que je devais me mettre en action pour me protéger. Alors que pendant l’accouchement, on est face à une douleur qui va nous aider, qui va propulser les hormones et qui va aussi nous donner des renseignements essentiels.
Imagine trois secondes s’il fallait que tu donnes un sang sans douleur, ce serait catastrophique parce que cette douleur-là qui arrive, elle t’informe du fait que ça va commencer, elle t’informe du fait que c’est le temps d’aller dans ta grotte, elle te renseigne sur la descente de ton bébé, elle te renseigne sur les positions à prendre, c’est une bénédiction de pouvoir compter sur elle.
Plus tu vas te mettre dans une posture d’ouverture, de collaboration avec la contraction, de collaboration avec cette douleur-là, moins ça va faire mal, oui moins la douleur va avoir de prise sur toi. C’est quand on parlait de danse avec Clélie tantôt, je pense que la contraction, c’est un peu la même chose. Quand je donnais naissance à mes bébés et que je sentais la contraction doucement venir me taquiner et que je le savais là, qu’elle s’en venait à grande grande vitesse, à grande grande puissance, je me dirigeais vers elle. J’allais vers elle les bras grands grands ouverts pour faire comme, coucou, viens, viens, tout ce que tu as besoin comme espace, comme place, prends-moi tout entière pour pouvoir faire le travail qu’on a besoin que tu fasses parce que je veux que mon bébé naisse.

Annie, ta Doula Ostéo
Plus tu seras dans une posture d’ouverture, moins la douleur va avoir de prise sur toi, je le répète. Plus tu vas te mettre dans une position de fermeture plus tu vas fermer les poings serrer la mâchoire plus tu vas te tendre plus tu vas te focaliser sur la douleur de la contraction plutôt que d’être en ouverture, plus ton cerveau va te donner des indications très très précises cette fameuse douleur-là. Et plus il va analyser de façon précise, évidemment plus ça va être que Louis lui propose de danser pendant l’accouchement. Tu vois les souvenirs qui nous restent, ce sont des souvenirs qui sont liés à l’affectif, qui sont liés aux émotions. Clélie avait donné naissance seulement quelques jours avant, elle n’était pas capable de nous mentionner précisément les endroits où ça faisait mal. Ça, on oublie ça vraiment rapidement. Mais ce qui nous reste, ce sont les émotions, ce sont les moments passés au niveau de l’affectif et les pas de danse, je te promets qu’elle va s’en souvenir toute sa vie durant. Et c’est ça qui crée des souvenirs.

Annie, ta Doula Ostéo [
C’est ça qui va faire que dans vingt ans, vous allez repenser à votre accouchement, à la naissance de votre bébé et vous allez dire, te souviens-tu à cette heure-là là on est en train de prendre un petit déjeuner à notre resto préféré ou à cette heure-là on est en train de danser dans la cuisine, oh mon Dieu c’est intense notre bébé était sur le bord de naître, ça c’est de la création de souvenir qui vont rester imprégné pour vous et pour votre famille pendant très très longtemps.
Et l’affectif d’ailleurs va suivre en postnatal aussi et en postnatal parfois on va se le dire c’est un peu moins facile parce qu’en postnatal on fait face à un tout petit mammifère qui entre dans notre vie, qui a un tempérament, qui a des besoins de petits mammifères, qui a besoin de beaucoup de sécurité, beaucoup de présence de façon très permanente et ce n’est pas toujours facile.
Et c’est pour t’aider à accompagner ton bébé que j’ai créé l’atelier gratuit, les super pouvoirs de ton bébé. On parle ensemble du quatrième trimestre et plus, tous les sujets incontournables, le sommeil évidemment, la plagiocéphalie qui est la tête plate, les jeux sur le ventre évidemment hyper important dans les premiers mois de vie, la motricité libre et l’accompagnement affectif par le jeu. Si tu as envie de participer à la prochaine édition de la rencontre en direct avec moi, je t’invite à aller dans la description de l’épisode pour pouvoir t’y inscrire dès maintenant.

J’espère que l’épisode d’aujourd’hui t’a fait du bien, que ça t’a aidé dans ta préparation, dans ton mindset. Évidemment si tu as envie que je t’accompagne sur ce chemin, je t’invite à venir me rejoindre sur OPALEO.com pour pouvoir choisir la formule qui te convient le mieux. Je te souhaite une magnifique journée très très douce, très belle remplie de beau et de petits bonheurs et je te dis à bientôt pour le prochain épisode.